Fallait-il qu’en ton nombril tu t’embourbasses ?qu’y sombrasses au fond d’un abysse ?Guetteur ultime tendu tout vers le lointainvrillé par la perspective de la chair,d’un souffle d’air qui débalaiera ta poussière.
Notice : le texte suit les cartes en commençant par la fin.
Notice : le texte suit les cartes en commençant par la fin.
RépondreSupprimer